• Le sujet des enfants de la rue fait couler beaucoup d’encre. C’est un phénomène qui menace toutes les sociétés. Quelles sont donc ses causes et ses conséquences ? Et comment peut-on faire face à ce fait ?

    Incontestablement, en l’absence du contrôle et de la surveillance des parents, la rue demeure l’espace ouvert qui abrite des mineurs en situation difficile. Ils sont des vagabonds, mal nourris, mal-logés et mal vêtus. Bref, ils souffrent de l’amertume puisque leur vie n’a aucun sens.

    Néanmoins, cette situation incombe à bon nombre de causes. Premièrement, les problèmes et les conflits familiaux notamment le divorce, la polygamie ou encore les relations illicites.  Deuxièmement, ces mineurs sont parfois victimes de guerres ou de catastrophes naturelles. Enfin, quand ils se trouvent dans la rue, livrés à eux-mêmes privés de l'identité et de la sécurité.

    Dès lors, ils deviennent proie de toutes sortes d’exploitation abusive surtout le travail précoce des mineurs, l’abus sexuel ou même la maltraitance. De même, ils endurent leur mal avec des maladies physiques et psychologiques. Par conséquent, ils commencent à se venger de leur société car la majorité d’entre eux vivent soit de la mendicité. C'est pour cela, parfois, ils se transforment à des délinquants qui commettent des délits pour vivre.

    Personnellement, je vois que la situation lamentable de ces mineurs suscite notre pitié et notre compassion. Dès lors, il s’avère nécessaire de les sauver des griffes. Et cela par le truchement de bon nombre d’actions humanitaires notamment par fonder des associations ou des hospices protégeant ces enfants. Ensuite, par leur fournir la bonne éducation et la meilleure scolarisation. En un mot, cela leur permet l’intégration digne à la vie sociale.

    À ce titre Victor Hugo dit :

     Chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne.
    Quatre-vingt-dix voleurs sur cent qui sont au bagne
    Ne sont jamais allés à l'école une fois,
    Et ne savent pas lire, et signent d'une croix.
    C'est dans cette ombre-là qu'ils ont trouvé le crime.
    L'ignorance est la nuit qui commence l'abîme.
    Où rampe la raison, l'honnêteté périt.

     

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  • Sans doute, l’amitié est une relation de sympathie et d'affection qui réunit deux personnes ou plus. Elle est basée sur l’échange des sentiments humains. Mais pourquoi cherche-t-on donc des amis ? Et quelles sont les valeurs de l’amitié ?

     Bon nombre de personnes cherchent à nouer des relations amicales avec autrui. Cela est tributaire d'une pléthore de raisons. Premièrement, l’homme est un être social qui ne peut pas vivre isolé des autres individus. Ensuite, avoir une amitié sincère c’est posséder un miroir qui reflète l’image réelle de chacun d’eux. Dès lors, les vrais amis nous permettent de reconnaître la fidélité, l’appui et le soutien si besoin est. De même, ils nous aident à surpasser les tourments de la vie et à nous progresser. Leur souci ne réside pas dans l’intérêt personnel mais dans le plaisir de nous rendre heureux.

    En définitive, je pense que si l’amitié prend assez de temps pour se construire, les véritables amis nous apprennent, avec le temps, à panser nos blessures parce qu'ils sont toujours à notre écoute pour le meilleur et le pire. Si cela concerne nos vrais amis, qui sont alors les faux amis ?

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  • Si avoir des enfants permet la continuité de la filiation humaine, la stérilité prive certains couples de ce don. Dès lors, l’adoption devient la seule solution pour pallier ce manque. L’adoption réalise-t-elle le bonheur ou le malheur ?

    Évidemment, ceux qui sont pour l’adoption avancent que cela demeure une source de bonheur et ce pour plusieurs raisons. De prime abord, l’enfant adoptif trouve son abri dans une famille harmonieuse qui le sauve et de la pauvreté et du vagabondage. En plus, les parents adoptants peuvent échanger leurs émotions parentales avec cet enfant qui meublera leur silence. En outre, si l’enfant connaît bien ses parents véritables, il jouira de ses parents biologiques et adoptants.

    En revanche, ceux qui sont contre l’adoption trouvent qu'elle est source de malheur parce que l’enfant adopté se trouve étranger et déraciné de sa famille d’origine surtout s’il est maltraité ou exploité de façon abusive. En plus, l’Islam voit que si l’enfant adoptif ne reconnaît pas ses parents biologiques il peut tomber dans l’inceste. Il peut même priver les héritiers légitimes de leur droit puisqu'il sera l’héritier unique de leur fortune.

    Pour conclure, je vois que l’adoption ou Kafala des orphelins est une action humanitaire qui doit respecter toutes les prescriptions islamiques. À ce titre, notre prophète dit : « Moi et celui qui prend un orphelin en charge serons ensemble au Paradis. » ; Et il rejoignit l'index et le majeur. ». Y’aurait-il mieux que le Paradis ?

     

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    Il va sans dire que le mariage est l’union légale entre un homme et une femme qui a pour objectif la procréation et la continuité de la vie. La polygamie, quant à elle, est le mariage d’un seul homme avec plus d’une épouse ( à la limite quatre). Cependant, entre partisans et opposants, la polygamie ne fait pas l’unanimité. Quels sont donc, à cet égard, les arguments avancés par chaque clan ? 

    En fait, les partisans de la polygamie approuvent que c'est une solution de bon nombre de problèmes. Primo, la deuxième épouse peut offrir des enfants à son mari au lieu de la première qui demeure stérile. Secundo, l’Islam autorise la polygamie qui peut contribuer à empêcher le mari de commettre des délits notamment l’adultère et le concubinage. En ce sens, le mari peut préserver la dignité de certaines femmes veuves et protéger leurs orphelins. Ainsi, demeure-t-elle une source de bonheur de plusieurs familles.

    En revanche, les opposants étayent leur opinion par d’autres arguments. De prime abord, ils voient que le mari ne cherche une autre épouse que pour satisfaire son plaisir. Ensuite, la première épouse devient bel et bien humiliée et proie d’injustice et de manque d’équité conjugale, matérielle et émotionnelle. Dès lors, les tourments ne cessent de détruire cette famille jusqu'à le divorce. Enfin, s’il est difficile de s’entendre avec une seule femme, conduire plusieurs attelages ne consiste-t-il pas une folie ?

    Personnellement, je trouve que le droit à la polygamie ne  peut  jamais être  au détriment de la dignité de l’une des épouses ou de celle  des enfants car enfin, ne sont-ils pas les enfants qui vont souffrir de l’abandon et du vagabondage ?

     

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  • Il est communément admis que la solitude se définit comme l’état ponctuel ou durable d’un individu qui n’a aucun engagement avec autrui. Cet état demeure-t-il un choix ou une obligation ?

    En effet, choisir sa solitude incombe à plusieurs raisons. De prime abord, la solitude peut être un choix quand les personnes trouvent leur calme et leur sérénité loin du vacarme du monde.

    En plus, l’instant de solitude est le moment propice pour mieux se concentrer. Par ailleurs, certains aiment s’isoler pour contempler et méditer l’univers, le cas des grands penseurs et philosophes qui, de par leur réflexion, peuvent comprendre le monde qui les entoure.

    Cependant, l’isolement peut être une source de malheur lorsqu'il devient une obligation. Ainsi, la personne en question endure-t-elle sa solitude loin de ses proches, ses amis ou sa patrie. Il s’agit donc des opprimés et des séquestrés qui se trouvent rejetés injustement de leur société. De même, nombreux sont les personnes qui aspirent à la liberté ou à la guérison pour récupérer leur engagement avec autrui.

    Pour conclure, je vois que la solitude est à la fois une source de bonheur et de malheur.  Mais, comme a dit Baudelaire, celui qui ne sait peupler sa solitude ne sait non plus être seul dans sa foule affairée. ». N’est-il pas vrai ?

     

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  • De nos jours, l’internet devient le moyen le plus rapide pour accéder à l’information. Pourtant, il demeure un danger qui appréhende et les parents et les éducateurs. Faut-il encourager ou dissuader les jeunes à cet égard ?

    En fait, l’internet occupe une place primordiale dans la vie contemporaine. Il est un moyen d’instruction et de formation. Il permet aux jeunes d’apprendre à distance et de communiquer avec autrui. En outre, ils peuvent profiter et du temps et de l’espace. Par ailleurs, grâce à l’internet, le monde devient un petit village en connexion.

    Toutefois, il a des répercussions néfastes surtout sur la santé comme les problèmes de vue pour ceux qui sont souvent plantés devant l’ordinateur. En plus, les informations publiées peuvent être erronées. Ce qui influe négativement sur les connaissances des jeunes utilisateurs. Ces derniers, en l’absence d’un contrôle parental, ils seront exposés à des risques. Bref, à cause de la virtualité du Net, les jeunes acquièrent certains comportements et habitudes nocifs notamment l’isolement, la paresse et l’addiction.

    En ce qui me concerne, je trouve que le Net est une arme à double tranchant. De cette manière, au lieu de priver les jeunes de surfer, il vaut mieux veiller à l’utilisation de l’internet de manière limitée et vigilante. Accordons-y le temps imparti.

     

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    Laakarta est un village marocain qui se situe sur la côte de l'océan atlantique, dans la commune rurale Ayir. Il est proche de Oualidia et loin de Safi de 56 klm.

    Ses habitants sont connus pour leur hospitalité et leur générosité. Leurs activités majeures sont la pêche, l'élevage et l'agriculture.

     Ses paysages côtiers sont  immenses. Quand la lumière vespérale et nocturne s'associe à celle de l'eau de la mer l'horizon devient beau et époustouflant. 

                        

    Pas loin du centre du village Laakarta, au pied d’une colline, proche d’un terrain sportif, se situe notre lycée nommé Mouatamid Bnou Abbad 

    Le lycée et l’école primaire sont côte à côte. Devant la porte des deux établissements, les moyens de transport et les élèves grouillent chaque jour. En effet, du matin au soir, la circulation de la route Lquoisma / Talouae demeure active.  

    Notre lycée dispose d’un ensemble de salles d’études et de salles équipées pour des études spécialisées notamment les Sciences de vie et de Terre et les Sciences physiques. Il est encore doté d’un immense terrain sportif et de vestiaires pour les lycéens. 

    Même si notre lycée est loin du centre de Laakarta, il accueille des lycéens et lycéennes venant de régions mitoyennes et d'autres lointaines du village. 

    J'aime mon lycée et je tiens à remercier le corps pédagogique et le corps administratif qui veillent sur notre bonne formation.

     

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