• Si j'étais...(3)

    Si  j’étais miroir, je ne voudrais pas être de ceux qu’on fait voir aux  aveugles, pourtant, ils nous apprennent souvent à voir, ni de ceux qu’on fait parler aux muets, non plus de ceux qui nous éblouissent  les yeux  et nous cachent la vérité : ce fardeau épineux où l’on inspire la vertu à l’éternité.

     

    J’accepterais encore d’être parmi ceux qui révèlent les secrets de certains regards, ou plus encore ceux qui donnent le pouvoir du savoir aux humiliés pour regagner leurs droits, et aux pécheurs de connaître la loi, et à l’Homme quoiqu’il soit, qu’il sache ce qu’il lui doit.

     

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    Lettre Particulière

    A mes très chers parents 

    Mes chers amours

    J’écris ces mots d’amour

    Je sais que vous attendez mon retour

    Très fiers de moi comme toujours

    Même je m’éloigne à mon tour

    Chère famille, charme d’innocence

    T’es mon refuge dés mon enfance

    Je sais que de moi que tu penses

    Malgré, mon long et profond silence

    Je t’en avoue ma reconnaissance

    Tu veilles à me garder l’importance

    D’affronter la vie d’avance

    Souvent je garde ta confiance

    En secret de votre dépendance

    Ton amitié me dit en abondance

    Je ne vaux rien pendant ton absence

    Et je ne me réjouie que lors de ta présence.

     

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    Si j'étais... (2)

     

        Si j'étais... (2)

     

    Si j’étais feuille, je ne voudrais pas être parmi les feuilles qui cèdent quand elles tombent chaque Automne de leurs arbres sans laisser trace.

     

    J’aimerais encore être un bout de papier où naissent de bonnes et réelles idées,  qui seront à la portée de l’Homme le jour où il voudrait.

     

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  • Si j’étais…

     

    Si j’étais plume, je ne voudrais pas être parmi des plumes épinglées dans les ailes des poussins, ni de celles qui essuient la poussière des ruines, même pas de celles qui servent comme crayons, ceux qui ont beau à écrire trop sans valeur. Je ne voudrais plus être des crayons qu’on force à finir chaque fois en les taillant, et en étouffant leur dernier souffle.

     

    J’accepterais encore d’être lumière éternelle du savoir qui luit  la nuit des inalphabets, et porte parole d’espoir pour les séquestrés et plutôt pour les opprimés.

     

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  •     Monsieur l’été 

     

                 
                 Oh! il est venus Monsieur l’été

    La joie, l’humour et la vitalité

    Des plages aux sables d’or

    Des vagues caressent encore

    Les rivages, encore et encore

    S’inclinent et implorent

    Dieu seul à l’éternité.

     

    Ô ! Estivant, Hé! Campeur

    C’est la saison de toute beauté

    Reposons nous de la fatigue des transports

    Qui nous rappelle la scolarité

    Et les discours et tant de cours

    D’orthographe, de syntaxe, et de dictée

    De la routine de chaque jour

    Aux écoles, aux facs et aux cités.

     

     Sur les montagnes et mêmes aux bords

    Des rivières, vivons des moments de tranquillité

    Où les merveilles sont un trésor

    De correspondance et de fraternité.

     

    Rangeons nos tentes, tout d’abord

    On se prête pour tout visiter

    Imouzzar, Laâyoun et Nador

    Des camps qu’on ne sait plus quitter

    On joue, on prie, on fait du sport

    On s’amuse et la nuit tout se tait

     Pour accueillir l’aube d’un beau jour

    Ensoleillé et plein de vitalité

    Passons tous, des moments forts

    Oh !  Que je t’adore …Monsieur l’été.

    Monsieur l'été

     

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