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    Dérivé du mot ‘Capitus’ qui veut dire ‘tête’, la peine capitale se veut une sentence pénale qui consiste  à décapiter la tête des criminels de sang. Cependant, le sujet de cette sentence prononcée par le tribunal ne fait pas l’unanimité. Pour certains, elle pose encore problème parce qu'ils voient qu'il faut l’annuler alors que d'autres pensent qu'elle est un moyen adéquat et qu'il faut l’appliquer. Alors, faut-il la soutenir ou l’abolir ?

    À la différence des opinions des adversaires, les partisans trouvent dans ce châtiment le moyen légitime pour évincer les criminels de la société. Pour eux, cette exécution, d’une part, rend justice à la famille de la victime.D'autre part, elle réduit le taux de la criminalité puisqu'elle dissuade tous ceux qui osent transgresser la loi. En effet, Toute société cherche à instaurer l’équilibre et la justice c’est pourquoi laisser les criminels circuler librement représente un danger sur la vie des innocents. Dès lors, cette peine, même si elle ne met pas fin au crime elle peut , au moins, éloigner le danger et le corriger.

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    Reste à souligner que châtier un criminel de sang est un devoir légitime. Cependant, je vois que l’erreur est humaine. Ainsi, substituer la peine capitale par un autre châtiment donne une autre chance à ces coupables pour qu'ils se repentent et qu'ils s’intègrent à une vie sociale honnête et digne.

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    Sans doute, la violence est l’utilisation de la force physique ou psychique pour contraindre ou sanctionner. Mais dans Le Dernier Jour d’Un Condamné, la violence exercée sur les forçats de Bicêtre prend une nouvelle dimension. Quels sont donc les aspects de cette violence et serait-il raisonnable de traiter ces prisonniers ainsi ?

    Effectivement, le narrateur du Dernier Jour d’Un Condamné a assisté au ferrage des forçats. Le spectacle horrible qui dévoile la barbarie des soldats à l’égard des prisonniers de Bicêtre. En fait, ces captifs, au-delà du froid dont ils souffrent et des conditions de vie précaires qu’ils endurent, ils subissent des tortures et des menaces des soldats. En plus, Ils sont maltraités, mal nourris et mal logés.


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    De même, la nudité de leur corps sous la pluie démontre, d’une part, la démesure du châtiment qu’ils endurent ; d’une autre part, elle dévoile l’inhumanité des soldats vis-à-vis des droits de l’Homme.

    En revanche, au lieu de sanctionner ainsi, on doit donner de la chance au forçat pour qu’ il se repente.  En outre, on doit créer des activités constructrices lui permettant de s’intégrer dignement à la société loin du regard méprisant des gens. 

    Personnellement, je vois que si toute erreur doit être châtiée, le forçat demeure en fin de compte un être humain qui doit jouir de ses droits à la vie digne et favorable. N’est-il pas temps d’en chercher d’autres solutions alternatives ?

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